11/02 : Celtic Forest 2 - 2 FC Pantoufles

Publié le 12 février 2006 par Mister Slipper

Ce samedi, Forestois et Pantouflards se sont quittés "dos à dos" sur le score de 2-2.

Sur le sol synthétique du complexe sportif du Bempt, chacune des deux équipes a eu droit à sa mi-temps. La première fut sans conteste à mettre au crédit des visités dont le jeu beaucoup plus fluide fit la différence. L'ouverture du score par ces derniers survint aux environs de la 10^e minute; notre défense, croyant à tort avoir joué parfaitement le piège du hors jeu, s'est faite surprendre par l'avant-centre celte qui plaça calmement le cuir dans nos filets pour faire 1-0. Après ce premier but, nos adversaires nous ont fait courir et ce n'est pas nos trop rares occasions insipides qui auraient pu les inquiéter!

Après le repos, la montée au jeu de Marc D. allait être déterminante. Placé en homme libre au milieu du jeu, le ballon circula mieux ce qui nous permit de mettre enfin un peu de pression sur la défense des verts et blancs. Cela allait porter ses fruits peu après la reprise lorsque Didier D. lança en profondeur Phil B. qui se fit bousculer fautivement dans le rectangle. Penalty transformé par la patte gauche de Marc D. pour recoller au score, 1-1.

Joie de courte durée malheureusement. En effet, dans les minutes qui suivirent l'égalisation, un hors-jeu très discutable allait être à la base du 2^e goal celtique; notre gardien loupa sa sortie, très hasardeuse, et laissa à l'ailier gauche ennemi tout le loisir d'ajuster un centre en retrait pour son équipier qui envoya le ballon en force dans notre cage vide, 2-1.

Les pantouflards ont alors fait preuve de beaucoup de caractère en allant chercher l'égalisation. Vers la 55^e minute, Marc D., assurément l'homme du match, contrôla un centre de Phil B. et, d'un tir croisé dans l'équerre gauche du but, fit mouche pour la deuxième fois. 2-2.

Peu avant le coup de sifflet final de l'homme en noir, un arrêt déterminant d'Oli A., l'homme en jaune, sauva le point si durement acquis. Nous ne pouvions, effectivement, rien revendiquer de plus que ce partage logique.